Dans notre dernière analyse, relative à la relaxe de MOKOM Maxime par la Cour Internationale Pénale-CPI, nous avons relevé que » MOKOM Maxime libéré, les langues vont se délier et nous connaîtrons probablement les en-dessous qui seront certainement sales et ne nous honoreront pas’‘. Certainement pour éviter ces en-dessous politiquement nauséabonds, voilà le pouvoir de Bangui qui s’empresse de demander son extradition, probablement pour le faire taire à jamais, parce que MOKOM Maxime, libre, constitue des épines dans les deux talons de l’illégitime et l’illégal Président élu TOUADERA. Nous interpelons vivement la Fédération Internationale des Droits de l’Homme-FIDH, l’Amnesty International et Human Right Watch ainsi que les Avocats de MOKOM Maxime d’intervenir et de plaider auprès de la Cour pour ne pas céder à la demande du pouvoir de Bangui, car le faire, équivaudrait à l’envoi de MOKOM Maxime à la potence, parce que MOKOM Maxime est neveu de BOZIZE YANGOUVONDA François, donc enfant de Bossangoa. L’opinion internationale, par le biais de la MINUSCA qui ne cesse de rapporter les tristes réalités de Centrafrique au Conseil de Sécurité et au Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, sait et connaît l’ignoble ethnocide que TOUADERA mène, particulièrement depuis 2021, contre les Gbaya de Bossangoa.
S'agissant de Bossangoa, nous nous permettons de ré évoquer ici et de manière très forte, l'élimination physique des personnes, notamment des jeunes, dans l'enceinte de SOCOCA de Bossangoa, au vu et su de la MINUSCA et des Organisations Non Gouvernementales-ONG opérant à Bossangoa, où les mercenaires de la société Wagner font pourrir les corps, aspergés de produits, dans un trou pour récupérer les os pour des trafics. Ce cas, plusieurs fois évoqué, n'émeut pas l'opinion internationale, notamment l'Organisation des Nations Unies, qui en a été saisie en bonne et due forme.
Nous demandons à la CPI, par la présente, de ne pas contribuer à l’extermination des enfants de Bossangoa en extradant MOKOM Maxime conformément à la demande formulée par le pouvoir de Bangui.
Nos considérations et remerciements pour les relais qui seront faits, par les bonnes volontés, de cette demande, formulée ce jour, date, année et heure, ci-après indiqués: 27 octobre 2023 à 9h23.
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