CES DEPUTES INSULTES PAR UN BANDIT-CRIMINEL AU COL BLANC ET QUI ONT FAIT HONTE A BOGANDA
Entendu dans le cadre de leur action du contrôle du Gouvernement prévu par l’article 122 de la constitution de la République de Bangui du 30 août 2023, le sulfureux criminel DONENG Héritier, chef de la milice »les requins », propulsé au poste du Ministre de la Jeunesse, Sports et de l’Education Civique pour récompense des crimes commis, par lui et ses éléments, s’en est pris par la suite à un Elu de la Nation, membre de la Conférence des Présidents, par moyen de publications insultantes, moqueuses et diffamatoires sur les réseaux sociaux, acte politique discourtois et indigne, caractéristique de l’indiscipline gouvernementale, ‘‘remettant gravement en cause l’équilibre institutionnel voulu par la Constitution de notre pays » (dixit le premier Vice Président de l’Assemblée Nationale centrafricaine).
Un tel irrespect politique engage la responsabilité individuelle et collective du Gouvernement dirigé par le Premier Ministre de son Etat, Mr MOLOUA Félix. Dans un tel contexte, la constitution de la République de Bangui offre aux dits Elus de la Nation, deux (2) grandes sanctions: la motion de confiance ou la motion de défiance. Et la sanction qui devrait politiquement s’appliquer, compte tenu des dérapages de DONENG, s’appelle MOTION DE DEFIANCE. Elle est individuelle et induit une démission immédiate.
Bizarrement, les Membres de la Conférence des Présidents, en l’absence du Président de l’Assemblée Nationale en tourisme environnemental et écologique en Russie, réunis sou la présidence du Vice Président, NGAMANA Evariste, alias » Le Président m’a dit », un autre sulfureux, au lieu de convoquer une plénière pour une motion de défiance, ont choisi d’adresser une lettre de recommandation sous référence N° 019/AN/PR.25 du 20/05/2025 au Premier Ministre, pour :
1-) La condamnation officielle de ce comportement indigne d’un Ministre en
fonction
2-) Le limogeage immédiat de Monsieur Héritier DONENG de ses fonctions
ministérielles, dans l’intérêt de l’Etat, de la paix institutionnelle et du respect
de l’ordre institutionnel.
N’est ce pas bizarre, voire déni politique et parlementaire cette manière de procéder?
Si ces députés de la 7ème Législature de la 7ème République de Bangui voulaient rétablir la concorde institutionnelle, se faire respecter politiquement et faire respecter l’ordre constitutionnel, c’était à eux d’adopter la mesure adéquate à leur disposition et non s’en remettre au Premier Ministre, qui en aucun cas ne pourrait pas obtenir du déclaré Président élu le décret de limogeage, parce que DONENG est au gouvernement pour récompense des Centrafricains qu’il a tués ou faits disparaître par les éléments de sa milice »les requins ».
Eeeh…, déni politique, si tu me prends.
ET QUELLE HONTE A ETE FAITE AINSI A BOGANDA BARTHELEMY, LE 1er DEPUTE OUBANGUIEN-CENTRAFRICAIN


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