SÛREMENT LE REGIME DE BANGUI QUI EST EN TRAIN DE SE SABORDER

Le régime de Bangui persiste et signe par la voix de son porte-parole, le ministre BALALOU, que le chef rebelle, le colonel SAYO, n’est pas tué, mais bien vivant, cependant, n’arrive pas à prouver qu’il est vivant, voilà plus de 2 mois; mais
l’opinion nationale est bien convaincue qu’il a été déjà liquidé par les mercenaires russes de TOUADERA; Et plus le silence dure du côté du gouvernement de Bangui, plus le Centrafricain lambda est convaincu que SAYO n’est plus de ce monde., et les regards interpellatifs et interrogateurs des Centrafricains se tournent logiquement vers les Présidents BIYA du Cameroun et MACRON de la France qui avaient cru aux argumentaire politicards du roublard de Bangui qui avait sollicité l’extradition de SAYO.
Avant SAYO, ce furent les élèves candidats au baccalauréat de juin 2025, les 4 tués du coup par le cortège présidentiel de Touadera qui se rendait à l’aéroport Bangui M’Poko, sur l’avenir des Martyrs à la hauteur du marché Combattant, Après SAYO, ce furent de nombreux compatriotes, des « chercher à manger », qui ont pour seul tort d’aller chercher des graviers sur les chantiers aurifères concédés aux mercenaires russes et aux chinois, qui se font tués sans autre forme de procès et l’assassinat politique de marque est celui du Leader de la société civile, BLAGUE Karl, invité pour enregistrement d’un débat politique dans un studio de la radio Ndéké Luka, qui ne peut plus ressortir de ce studio sur ses jambes et qui décède sur un lit d’hôpital, certainement achevé par les hommes de basse besogne du régime. Après BAMBOU et le tribun BENDOUGA, c’est BLAGUE que le régime de Bangui élimine avec la complicité des animateurs de radio Ndéké Luka.
Après BLAGUE, ce serait le tour de quel Leader Politique ou social ?
Il est de noire réputation qu’à l’approche des élections présidentielles et législatives en Centrafrique, de nombreux sacrifices humains sont pratiqués par de nombreux candidats qui font de l’existentialisme politique. L’assassinat de BLAGUE s’inscrit-il dans cette logique ou relève t-il des sacrifices périodiques qui se font pour consolider le pouvoir de Bangui ?
Nous sommes au mois de septembre, le sombre mois durant lequel les grands mauvais esprits sont à la conquête des âmes pour leurs sacrifices humains. Mais ce mois de septembre 2025 pourrait sonner le glas de tous ceux et toutes celles qui se livrent à ces sacrifices humains pour leur existentialisme politique.
Quelle que soit la longueur de la nuit, le jour finit toujours par se poindre. Le sang des nombreux compatriotes versé ne restera pas impuni, parce qu’à partir de ce mois de septembre 2025, le sort du régime de Bangui commence à être appréhendé au passé. le caractère sanguinaire du régime, les dysfonctionnements voulus et entretenus des institutions républicaines et les fuites en avant créent les conditions pour une inévitable fin brutale de ce régime.
Et la Justice se fera pour refonder la Nation centrafricaine
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